Amos Gitai et l’enjeu des archives
|Remerciements
Texte intégral
1Cet ouvrage n’aurait pas pu exister sans l’aide décisive de Florence Terrasse-Riou et de Laurent Truchot, ainsi que de Sabine Cassard. Nous tenons, Amos Gitai et moi, à manifester notre gratitude à Alain Prochiantz et Thomas Römer, administrateurs successifs du Collège de France, à la fondation Hugot du Collège de France pour son soutien actif, ainsi qu’à Laurence Engel, présidente de la Bibliothèque nationale de France.
2Une mention particulière doit être accordée au travail indispensable de Rivka Gitai.
3Il importe également de saluer l’apport précieux des participants au colloque des 6 et 7 juin 2019 dont les contributions n’ont pu trouver place dans ce volume : Michael Cidor, Naoum et Vera Kleiman, Bruno Maurice, Kioomars Musayyebi, Adewale Benneth Olukayode, Richard Peña, Ashish Rajadhyaksha, Laurent Roth, Louis Sclavis, Ophrah Shemesh, Agnès Spiquel, André Wilms.
4Il est juste de mentionner, par ailleurs, les enrichissements à la réflexion dont ce livre se veut un repère et qui ont été rendus possibles par les contributions d’Alain Carou (BnF), Glynn Edwards (université de Stanford), Christophe Gauthier (École nationale des chartes), Michael Keller (université de Stanford) et Oren Weinberg (Bibliothèque nationale de Jérusalem).
5Que soient également remerciées Anne-Lise Thomasson, Fanny Pauthier et Céline Vautrin, du Collège de France, pour la rigueur bienveillante de leurs relectures et leurs conseils expérimentés.
6Amos Gitai et moi tenons enfin à témoigner notre gratitude à Sébastien Moreu, Aurélia Proffit, Doriano et Chiara Navarra, ainsi qu’aux équipes des galeries Enrico Navarra et 75 Faubourg.
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