Remerciements

1L’édition du cinquantenaire de la Sfdas est la conclusion naturelle d’une semaine de célébrations qui se sont tenues du 15 au 19 septembre 2019, au Musée national du Soudan et à l’institut français : exposition des photographies de la série « archéologique » de Claude Iverné, cycle de conférences des anciens directeurs de la Sfdas, conférence de presse au Musée national à l’occasion de la remise officielle aux autorités soudanaises du panneau de Soleb, de la stèle de la dame Ataqelula de Sedeinga et du relief de la candace du temple à Amon d’el-Hassa, qui ont bénéficié tous trois de programmes de restauration.

2La Sfdas souhaite remercier l’ensemble des contributeurs de ce volume, tant pour leur expertise et leur ténacité sur le terrain de la vallée du Nil Moyen, que pour leur disponibilité à toute épreuve quant aux différents travaux de la Sfdas au sein desquels ils sont impliqués. Cet ouvrage, qui vient couronner un demi-siècle de coopération scientifique entre la France et le Soudan, repose sur leur action et sur leur dévouement, dont la Sfdas se veut être à la fois l’écrin et l’avant-poste. Il a été rendu possible grâce à des contributions cruciales, en premier lieu desquelles la fondation Michela-Schiff-Giorgini, la section française de la direction des Antiquités du Soudan (Sfdas), et l’Usr 3336 Afrique du Cnrs. Il convient de rappeler à cette occasion le rôle fondamental joué par les Umifre, les Instituts français de recherche à l’Étranger : naviguant au plus près des communautés scientifiques internationales, ils sont les fers de lance de la recherche française dans leurs zones géographiques respectives.

3L’ouvrage jubilaire de la Sfdas a également reçu le soutien du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, de la National Corporation for Antiquities and Museums (Ncam) et du musée national du Soudan, du Collège de France, du musée du Louvre, de l’Université centrale de Floride, de l’Ambassade de France à Khartoum et de l’Institut français du Soudan, et a été publié avec le concours de l’Institut français d’Archéologie orientale (Ifao) et du Centre national de la Recherche scientifique (Cnrs), laboratoire Umr 8167, Orient et Méditerranée.

4Enfin, la Sfdas remercie chaleureusement Abdelrahman Ali et Hatim el-Nour Ogeil, respectivement ancien et nouveau directeurs de la Ncam, pour leur appui constant et leur aide précieuse au sein de l’administration soudanaise. Ce goût du temps long et de la mémoire partagée donne souffle et chair à cette édition du cinquantenaire de la Sfdas, dont j’ai l’honneur d’être le gouvernail temporaire en cette période toute particulière.