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En Languedoc au XIIIe siècle

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Monique Bourin

La ville industrieuse : l’exemple des potiers

Contribution à la caractérisation des productions potières médiévales de Béziers

Elian Gomez

Texte intégral

1La vitalité des productions potières en Biterrois n’est pas une nouveauté du Moyen Âge. Elle s’inscrit dans la continuité depuis la fondation de la ville au VIe s. av. notre ère.

2En effet, dès la première moitié du VIe s. av. J.-C., des productions potières exceptionnelles sont attestées à Béziers. Elles concernent à la fois les céramiques de cuisine (marmites, urnes) à pâte sableuse et cuisson réductrice, les mortiers de cuisine (à cuisson oxydante), ainsi que les céramiques de table à pâte claire (finement micacées, achromes pour les unes, décorées de motifs peints en ocre rouge pour les autres) et enfin la vaisselle en grise monochrome.

3Les productions biterroises de céramiques sont à cette période (l’âge du Fer) exceptionnelles dans le sens où elles emploient le tour (tour rapide de surcroît), des techniques et des formes importées du monde grec. De ce fait, elles se démarquent grandement de toutes les productions indigènes. Ces productions potières biterroises répondent bien sûr en premier lieu aux besoins locaux, mais constituent aussi les termes de l’échange avec les populations indigènes de la région puisqu’elles y sont grandement diffusées. Ainsi, la zone Orb-Hérault se caractérise durant l’âge du Fer par la consommation de marmites tournées, alors que partout ailleurs en Gaule, la céramique de cuisine modelée est exclusive. Cela induit une acculturation certaine du monde indigène languedocien et parfois même dans certains cas, cela renseigne sur le degré d’hellénisation d’un site.

  • 1 Chr. Olive et D. Ugolini dir.

4 Une partie au moins de ces productions potières biterroises a été élaborée dans le quartier de La Madeleine où des fours de la fin du VIe et du début du Ve s. av. notre ère furent fouillés en 19851. Ce quartier artisanal fut par la suite déplacé (sans doute plus au nord) pour l’extension de la zone résidentielle de la ville au milieu du Ve s. av. J.-C.

  • 2 Cf. les travaux universitaires de A. Ratsimba et en dernier lieu A. Ratsimba, Les pithoï biterrois, (...)

5Je signalerai également la fouille par D. Ugolini et Ch. Olive d’un four à pithos (grandes jarres de stockage et de vinification) des V et IVe s. av. J.-C. à l’est de la ville, sur la zone de la Domitienne. A ce jour, il s’agit du seul exemple connu de four de pithoï, alors que ces récipients sont communément employés dans le monde grec. Ce type de production biterroise a également connu un grand succès puisque des individus sont attestés jusqu’à Marseille2.

  • 3 Cf. E. Gomez, L’îlot nord de la rue Maître Gervais, D.F.S. En cours.

6Plus tardivement, dans les niveaux urbains du Ier s. av. J.-C., des fours de potiers ont été fouillés sous l’îlot Maître Gervais (sur la pente nord du plan cathédral)3. Ils assuraient la cuisson de céramiques de cuisine tournées et peignées, conformes aux modes et usages de la période.

7Avec la romanisation du Biterrois, les activités potières s’intensifient encore plus. En effet, s’ajoutent désormais les productions amphoriques (amphores dites « gauloises ») pour la commercialisation du vin local dans l’ensemble de l’Empire romain. On peut aussi mentionner les productions de Brunes Orangées Biterroises, Sigillées, des Claires-Récentes, qui sont massivement commercialisées.

  • 4 Cf. C. Pardies, Recherches sur Béziers tardo-antique : le mobilier de l’unité stratigraphique 16 (p (...)

8A la fin de l’Empire romain, lorsque la région passe sous domination wisigothe, les productions potières constituent encore une forte activité artisanale : le Biterrois diffuse régionalement des céramiques de cuisine (SABleuses du Languedoc Occidental4) et des céramiques de table (Dérivées de Sigillées Paléochrétiennes).

9Il aurait donc été étonnant que cette activité ne perdure pas au cours du Moyen Âge puisque toutes les conditions étaient réunies : une forte demande induite par une population nombreuse, des matières premières disponibles (argiles, dégraissants, eau, bois) et vraisemblablement un savoir-faire.

Les productions potières de Saint-Jean d’Aureilhan

10A la suite de multiples opérations de diagnostics engagées sur le secteur de Saint-Jean d’Aureilhan depuis la fin des années 1980 qui ont révélé une très importante densité de vestiges (essentiellement médiévaux), une fouille archéologique a été envisagée sur la parcelle HX 443.

11Après ouverture d’une grande fenêtre de fouille (50 x 25 mètres = 1250 m2) sur la zone la plus densément occupée, nous avons pu mettre au jour un champ de silos, deux puits, des fours (de tuilier, de céramiste, et de boulanger ?) du Moyen Âge classique ainsi qu’une série de fosses/silos du haut Moyen Âge que nous pouvons rattacher à l’histoire de la fondation du site par des Hispani.

12En effet, l’examen des textes anciens (et notamment du « Livre Noir ») permet de saisir diverses mentions du lieu de culte et de l’occupation humaine qui l’accompagne. La plus ancienne mention s’avère exceptionnelle. Il s’agit d’un acte daté du 1er janvier 815 émanant de Louis le Pieux, roi d’Aquitaine (781-814) puis Empereur d’Occident (814- 840), dans lequel sont confirmées les donations territoriales attribuées sous le règne de Charlemagne aux Hispani (populations espagnoles d’origine wisigothe réfugiées en Septimanie pour fuir le joug sarrazin), ainsi que sont confirmés leurs droits et devoirs. Dans l’acte, parmi ces donations territoriales, est mentionnée celle d’Aureilhan où 19 personnes sont autorisées à fonder une paroisse sous l’invocation de Saint-Yves (Histoire Générale de Languedoc, T. 2-1, 179). Or, plus tardivement, aucune autre mention n’est faite de ce saint et l’on trouve le patronat de Saint-Jean dès 918. Pour l’heure, il n’est pas possible de déceler les raisons de la discordance (erreur de localisation ou adaptation locale ?). L’Histoire Générale de Languedoc nous précise que l’Empereur Louis dut réitérer cette ordonnance le 10 février 816 pour clarifier les relations avec les autorités seigneuriales et les droits de propriétés. Des exemplaires en seraient déposés dans les villes de Narbonne, Carcassonne, Roussillon ou Elne, Ampurias, Barcelone, Gérone et Béziers, diocèses dans lesquels les Hispani s’étaient établis.

13Successivement, c’est un acte daté du 19 octobre 918 qui permet de retrouver trace de l’occupation du tènement. Les dénommés Tructildis et son fils Fulcherius, et Ledoinus (prêtre), considérés comme les descendants des fondateurs, donnent à l’église Saint-Nazaire de Béziers les huit portions qu’ils possèdent sur l’église de Saint-Jean Baptiste d’Aureilhan (anciennement bâtie par 23 fondateurs) (Rouquette 1918, 12 et Sécondy 1952, 29, in villa Aureliago, in ecclesia S. Johannis Baptistae). Puis, en 937 (Aureliaco), en 983 et 993 (villa Aureliaco), en 1010, 1110, 1179 et 1323 (de Aureliaco), en 1151 (capellanus de Aureliaco), en 1154 (apud Aureliacum, ecclesie S. Johannis de Aureliaco), en 1193 (ad Aureliacum), au XVI ème siècle (de Aurelhaco), en 1708 (S. Jean d’Aurelia), en 1770 (Saint Jean d’Oreilhan) cf. Hamlin 1988 dont la source principale reste le « Livre Noir » de Béziers.

14S’agissant des données archéologiques, les fosses les plus anciennes sont concentrées au nord de la fenêtre de fouille, tandis qu’au centre et au sud, nous trouvons préférentiellement des silos, fours et fossés des XI – XIIe s. (figure 1 : plan de la fenêtre de fouilles).

15Les structures en creux les plus anciennes, creusées dans les molasses jaunes du miocène peuvent être datées du IXe s. au vu des mobiliers qu’elles contenaient. Elles consistent en des fonds de fosses circulaires d’un diamètre généralement voisin de deux mètres. Les parois sub-verticales ou tronconiques aboutissaient sur un fond plat, livrant parfois en leur centre, une dalle en pierre calcaire, ou en molasse dense. Il est probable que ces éléments aient pu participer à la fermeture des fosses qu’il conviendrait d’interpréter comme des fonds de vastes silos. Quant aux stratigraphies de comblements, on doit préciser qu’elles sont constituées de remblais organiques conformes aux niveaux traditionnels de dépotoirs. Elles contiennent en outre des fragments de vases à cuisson réductrice et pâte dure à dégraissant sableux, provenant généralement de divers individus (et donc rarement reconstituables), ainsi que des restes de faunes consommées. La prédominance d’un type de pâte, à la fois dans l’ensemble des structures, et toutes phases confondues, permet d’envisager qu’il puisse s’agir de la production du site. En effet, la typologie des fours 59 et 62 plaiderait en faveur d’une production de céramiques. En outre, des fragments de vases en pâte kaolinithique sont attestés, mais leur représentativité reste généralement modeste, y compris pour la phase ancienne du site (figure 2 : planches des mobiliers).

16Les structures du XIe s. sont mieux attestées. Leur nombre s’accroît ainsi que leur diversité, même si les silos restent le type de structure le plus courant. Ainsi, devraient appartenir à cette phase plus d’une quinzaine de silos, deux fossés de drainages, un four de tuilier (four 62) et peut-être les deux fours voisins (fours 59 et 61).

17S’agissant du four de tuilier (figure 3 : le four 62 de tuilier), force est de constater le soin apporté à sa confection et l’aboutissement technique dont il fait preuve. Il s’agit en effet, d’un four quadrangulaire dont la chambre de chauffe dispose dans ses quatre angles d’un dispositif d’aération en tuyère et d’un conduit d’évacuation des fumées au cul du four. Ce dernier, creusé en sous-oeuvre dans le substratum communique avec une cheminée, en fosse cylindrique verticale munie sur son pourtour d’une série de trous de poteaux (FS 103). Au centre de la chambre de chauffe, un pilier constitué par l’agencement de blocs calcaires et blocs de molasse, de section quadrangulaire, devait supporter une sole dont il ne subsistait aucun élément en place. Les parois du four ont été lutées, vraisemblablement à plusieurs reprises et les très évidentes auréoles de rubéfactions témoignent du fonctionnement durable de la structure de cuisson. L’alandier qui débouche au sud-ouest est parementé de dalles calcaires pour le solidifier. A l’intérieur du four, ainsi qu’en périphérie, les restes de tuiles canal dont des surcuits et ratés de cuisson étaient particulièrement nombreux.

18Les vestiges postérieurs, attribuables aux XII et XIIIe s. paraissent diminuer en intensité et se localisent plus au sud et à l’ouest de notre zone d’intervention. Ils permettent toutefois de faire le lien avec les occupations médiévales fouillées au Garissou (cf. N. Lecuyer, dans ce volume) et en centre ville, rue Maître Gervais.

Les remblais médiévaux de l’îlot Maître Gervais

19Tout aussi intéressant, même s’il ne s’agit pas d’un centre de production, voyons désormais les remblais médiévaux de l’îlot Maître Gervais.

20Ce secteur urbain se localise à proximité de la zone sommitale de la colline où furent édifiés la cathédrale Saint-Nazaire, la résidence épiscopale et le château vicomtal. Plus précisément, l’îlot se trouve entre le plan Saint-Louis (la place de la cathédrale) et la porte Tourventouse, au bord du versant nord de l’acropole. Il s’agit donc d’un secteur intra-muros, en forte pente et périodiquement réaménagé en terrasses pour l’installation de structures artisanales et quartiers résidentiels.

21Après une longue désaffection (depuis le début du VIIe s.), la zone est réinvestie par un quartier résidentiel, au XIIe s., mais qui ne perdure pas. Il se matérialise par des bâtisses disposant de cours percées de silos. Malheureusement, les limites de la fouille et le niveau de dégradation des vestiges nous empêchent de disposer d’un plan complet.

22Une rue caladée, en forte pente, structure le quartier. Elle faisait la jonction entre le plan cathédral et un des principaux accès à la ville : la porte Tourventouse.

23Sur la partie haute du sondage, au sud, un puissant remblais de démolitions a été jeté, en partie contre une des bâtisses qui doit vraisemblablement être à ce moment désaffectée. Les déblais en question (unités stratigraphiques 11, 22 et 169 retrouvées tant au sud qu’au nord de la rue Maître Gervais, c’est-à-dire dans le sondage datant de 2005, sous les immeubles démolis de l’îlot sud, et dans le sondage de 2006, sous l’îlot nord) contiennent beaucoup de petites pierres calcaires, impropres à la construction, de nombreux débris de tuiles canal ainsi que d’abondants fragments de céramiques. Compte-tenu de leur datation et de leur puissance (plusieurs dizaines de mètres cubes), il est fort vraisemblable qu’il s’agisse de déblais triés (toutes les belles pierres ont été récupérées au préalable), liés à un épisode d’importants réaménagements urbains, sans doute associable au sac de 1209.

24A ce titre, ils constituent donc un admirable moyen pour cerner le faciès des céramiques usitées à la fin du XIIe, début du XIIIe siècles à Béziers (figure 4 : planche us 11).

25Une des originalités biterroise tient à l’omniprésence de disques en céramique, fréquemment cannelés et parfois décorés d’incisions. Déjà, en 1990, Nolwenn Lecuyer avait remarqué cette particularité sur le site de production potière du Garissou. Leur fonction n’est pas certaine mais on peut supposer au vu de l’aspect brut de leur sous-face, des traces de chauffes qui s’y trouvent, de leur composition (pâte adéquate pour résister au feu) et de leur dimension, que ces disques sont des supports de marmites que l’on cale dans les braises du foyer. On peut même avancer que les cannelures puissent être destinées à retenir les jus de cuisson dans le cas de débordements (par ébullition ou condensation). L’omniprésence de ces ustensiles de cuisine à Béziers, dans les horizons des XII – XIIIe siècles traduit sans doute des habitudes alimentaires plus spécifiquement biterroises qu’il serait très intéressant de déterminer.

L’îlot Saint-Vincent-de-Paul

26L’îlot Saint-Vincent de Paul se localise au nord du coeur de ville, entre le Cap-Nau et la porte Tourventouse. Il semble qu’il ait été enserré dans l’extension des remparts du XIIe s., pour la protection des quartiers nord (Cap-Nau et Saint-Aphrodise).

27Dans la deuxième moitié du XIIIe s., après le sac de Béziers, l’activité potière est toujours attestée, notamment dans le quartier Saint-Vincent-de-Paul.

28En 2004, la fouille partielle d’un atelier de potier a mis en évidence les vestiges d’un four quadrangulaire sommairement maçonné ainsi que la cuve de décantation de l’argile, finalement comblée par des rebuts de cuissons.

29Le four quadrangulaire n’était que faiblement conservé. Un parement de petits blocs calcaires liés à la chaux prenaient place dans une petite tranchée de fondation très peu marquée. La chambre de chauffe se matérialisait notamment par la juxtaposition d’auréoles de chauffes sur deux radiers circulaires constitués de fragments de tuiles. A l’arrière, un mur de terrasse supportait un appentis couvert de tuiles canal, propre à protéger le four, tandis qu’à l’avant, une légère dépression rubéfiée contenait des charbons de bois, vestiges de la dernière cuisson.

30Contre le four, à l’est, un creusement cylindrique dans le substratum (banc de calcaire coquillier) accuse un diamètre de deux mètres et une profondeur conservée d’un mètre trente au minimum. Une résurgence alimente en eau cette cuve dont le niveau se stabilise actuellement à mi-hauteur. Vers le fond de cette cuve, se trouvait une épaisse couche d’argile, vraisemblablement liée à la chaîne opératoire du traitement par le potier de sa matière première. En dernier lieu, la cuve a servi de dépotoir pour l’atelier et nous avons pu y recueillir près de deux mille individus (calculés d’après le nombre de bords différents) parmi lesquels figure une bonne part de surcuits et ratés de cuisson (essentiellement des fragments de vases collés entre eux ou fissurés par l’éclatement de la pâte en raison d’un agrégat accidentel).

31Les tessons recueillis sont donc particulièrement nombreux et constituent une masse colossale à traiter. Synthétiquement, il en ressort une indiscutable uniformité de pâte. Celle-ci se caractérise par une relative abondance de mica blanc en très fines divisions. Quelques particules plus grossières servent également de dégraissants : des nodules crayeux de calcite et quelques grains de quartz, dont la granulométrie, accidentellement grossière provoque parfois un éclatement de l’épiderme. La pâte est très bien cuite, sonnante, bien tournée et fine. La cuisson peut être oxydante ou réductrice, principalement en fonction des formes. Par exemple, la très grande majorité des cruches s’avère en cuisson oxydante tandis que les marmites sont presque toujours réductrices. Les coulures de glaçures à l’oxyde de plomb sont très fréquentes mais restent cantonnées à une part restreinte de la surface des vases. Majoritairement, la cuisson a provoqué une teinte verdâtre de la glaçure mais le brun-roux n’est pas rare.

  • 5 M. Leenhardt, M. Leguilloux, L. Vallaury, J.-L. Vayssettes, S.-Y. Waksmann, V. Merle-Thirion, Un pu (...)

32Enfin, s’agissant des formes produites, je soulignerai qu’elles sont tout à fait conformes aux productions contemporaines du Languedoc, et qu’elles trouvent des parallèles très convaincants avec les productions montpelliéraines mises en évidence par M. Leenhardt et alii5. Il s’agit prioritairement, en nombre minimum d’individus, de marmites, puis de cruches, de grandes cruches, de jarres, de jattes, de coupelles, de pichets, et de petits gobelets.

Conclusion

33Ainsi, au travers de ces trois exemples Biterrois, l’on peut suivre à l’échelon régional quelques évolutions chronologiques de la céramique médiévale, ses spécificités, ainsi que l’ampleur des dynamiques productives.

34Ils permettent d’agrémenter le corpus déjà bien fourni des productions céramiques médiévales dont la multiplicité des centres n’est pas sans complexifier la problématique.

35D’autre part, un intérêt majeur réside, à mon sens, dans l’étude des mobiliers issus des déblais de démolition du quartier Maître Gervais puisqu’ils présentent une image forte des modes de consommation des vases au tournant des XIIe et XIIIe siècles.

Notes

1 Chr. Olive et D. Ugolini dir.

2 Cf. les travaux universitaires de A. Ratsimba et en dernier lieu A. Ratsimba, Les pithoï biterrois, dans Béziers I (600-300 av. J.-C.) La naissance de la ville, Cahiers du musée du Biterrois, 1, D. Ugolini et Chr. Olive (dir), 2006, pp. 98-102.

3 Cf. E. Gomez, L’îlot nord de la rue Maître Gervais, D.F.S. En cours.

4 Cf. C. Pardies, Recherches sur Béziers tardo-antique : le mobilier de l’unité stratigraphique 16 (place de la Madeleine), Mémoire de maîtrise sous la dir. de Me A.-F. Laurens, université Paul Valery, Montpellier III, 2005.

5 M. Leenhardt, M. Leguilloux, L. Vallaury, J.-L. Vayssettes, S.-Y. Waksmann, V. Merle-Thirion, Un puits : reflet de la vie quotidienne à Montpellier au XIIIe siècle, dans Archéologie du Midi médiéval, 17, 1999, pp.109-186.

Table des illustrations

Titre Fig. 1
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Titre Fig. 2
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Titre Fig. 3
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Titre Fig. 4
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