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Les arènes totalitaires

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Daphné Bolz

Remerciements

Texte intégral

1Cet ouvrage est issu de ma thèse de doctorat préparée entre 2000 et 2005 à l’Université Marc Bloch de Strasbourg et à l’Université Libre de Berlin. Mes remerciements s’adressent en premier lieu aux professeurs Bernard Michon et Gunter Gebauer qui m’ont soutenue avec compétence, confiance et une grande cordialité. Je remercie également les membres du jury pour leurs remarques et leurs encouragements : Nicolas Bancel, Maurice Blanc, Hans Langenfeld, James Riordan et Christian Vivier.

2De nombreux collègues m’ont aimablement conseillée et soutenue durant toutes ces années. À Rome, Angela Teja m’a fait partager ses connaissances historiques, méthodologiques, et ses talents culinaires ; en France j’ai été tout particulièrement soutenue par André Gounot, Jean-François Loudcher et Thierry Terret ; Paul Dietschy, Harald Ölrich et Francesco Varrasi ont aimablement mis à ma disposition leurs travaux. Merci aussi à Pierre Lanfranchi pour ses conseils toujours utiles.

3Je n’oublie pas les membres du International Centre for Sport History and Culture de l’université De Montfort de Leicester (GB) que j’ai rejoints en octobre 2006 et qui m’ont encouragée et donné la force de reprendre mon travail pour le publier. Une mention toute particulière va à Jeff Hill et Richard Holt, pour leur disponibilité et leur gentillesse.

4Ce travail doit beaucoup à l’exploitation d’archives réparties entre l’Allemagne, l’Italie et la Suisse. Je tiens donc à remercier sincèrement les archivistes qui m’ont aimablement accueillie et conseillée aux Archives d’État, aux archives du ministère des Affaires étrangères et aux archives du CONI à Rome, aux archives municipales de Turin, Milan, Trieste, Gênes, Bologne et Florence. En Allemagne j’ai été orientée avec professionnalisme aux Archives fédérales de Berlin et de Coblence, aux archives cinématographiques et aux archives du Land à Berlin. Des remerciements spéciaux s’adressent au personnel des archives et du Centre d’études olympiques à Lausanne, qui m’a accueillie en tant que boursière pendant cinq semaines.

5Toute ma gratitude va également aux différents organismes et institutions qui m’ont accordé leur soutien financier après la fin de mon allocation de recherche, notamment le CIERA (Centre international d’études et de recherches sur l’Allemagne) et l’Office allemand d’échanges universitaires (DAAD). Le Collège doctoral européen des Universités de Strasbourg, la Mission historique française en Allemagne, l’Association pour le développement des études germaniques en France et l’École française de Rome m’ont alloué des aides ponctuelles. Enfin, la bourse Marie Curie IEF de la Commission européenne dont je dispose depuis un an m’a offert des conditions idéales pour finir le manuscrit.

6Je tiens, enfin, à remercier l’ensemble de mes proches et amis qui n’ont ménagé ni leur soutien ni leur affection durant toutes ces années, en particulier Eck, Laurent, et ma sœur Nadja.

7Une reconnaissance toute particulière va à mon ami, Marc, qui m’accompagne depuis le début et à qui je dois tant.

Le texte et les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont sous Licence OpenEdition Books, sauf mention contraire.

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